La maison d'édition a fait appel à un spécialiste américain de la lutte contre le piratage numérique.
Hachette Livre a décidé de prendre à bras le corps le problème du piratage des livres. La maison d'édition a ainsi annoncé jeudi avoir fait appel à la société américaine de surveillance du Web Attributor, explique Les Echos. "Le piratage des livres scannés et publiés illégalement existe depuis longtemps mais la numérisation décuple les possibilités", a ainsi expliqué Hachette Livre, qui fait appel à Attributor pour "protéger ses actifs et les intérêts de ses auteurs à l'heure où la lecture sur tablettes numériques se généralise".
Basée dans la Sillicon Valley, Attributor revendique le leadership mondial de la chasse aux pirates de livres numériques, que ceux-ci opèrent en "peer to peer" ou en téléchargeant depuis des plateformes de stockage.
Cette société surveille et repère les sites indélicats, et leur adresse une mise en demeure, initiative dissuasive dans la plupart des cas. Deuxième maison d'édition au monde, Hachette Livre ne compte donc pas laisser le livre numérique et les possibilités qu'il offre au téléchargement illégal faire baisser son chiffre d'affaires.
sursa
Hachette Livre a décidé de prendre à bras le corps le problème du piratage des livres. La maison d'édition a ainsi annoncé jeudi avoir fait appel à la société américaine de surveillance du Web Attributor, explique Les Echos. "Le piratage des livres scannés et publiés illégalement existe depuis longtemps mais la numérisation décuple les possibilités", a ainsi expliqué Hachette Livre, qui fait appel à Attributor pour "protéger ses actifs et les intérêts de ses auteurs à l'heure où la lecture sur tablettes numériques se généralise".
Basée dans la Sillicon Valley, Attributor revendique le leadership mondial de la chasse aux pirates de livres numériques, que ceux-ci opèrent en "peer to peer" ou en téléchargeant depuis des plateformes de stockage.
Cette société surveille et repère les sites indélicats, et leur adresse une mise en demeure, initiative dissuasive dans la plupart des cas. Deuxième maison d'édition au monde, Hachette Livre ne compte donc pas laisser le livre numérique et les possibilités qu'il offre au téléchargement illégal faire baisser son chiffre d'affaires.
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